La participation citoyenne des jeunes est un élément essentiel dans notre société et devrait être davantage encouragée. Si on veut que nos jeunes soient plus impliqués en politique, il faut leur expliquer la réalité qui les attend et les faire participer à la prise de décisions. Notre démocratie repose sur une population bien informée, et cela inclut aussi nos jeunes! Ce projet est une avenue encore plus nécessaire si on considère que la proportion de jeunes de moins de 18 ans seulement, sur l’ensemble du territoire, représente environ 50000 futurs votants.  Je suis favorable à une approche novatrice qui cible nos jeunes, mais tout en prenant bien entendu en compte le fait que la tranche d’âge qui vote habituellement pour moi est davantage celle qui se situe dans les plus de 50 ans. Pour ces derniers, cependant, je devrai me renouveler pour obtenir les votes essentiels et la confiance qu’ils m’ont toujours apportés au fil des années.

Ce virage jeunesse vise également à promouvoir la participation citoyenne chaque fois que cela est souhaitable et possible (financer des initiatives citoyennes, concours, bourses, etc.). Nous avons créé ce comité pour stimuler la créativité de la population de Longueuil, quel que soit son âge. C’est tous ensemble que nous construirons une ville qui fera notre fierté.  Le « Virage jeunesse » me permettra également de repenser le rôle du conseiller municipal de 2022.

Cette priorité en est une qui est depuis longtemps dans les cartons de la Ville, mais elle est toujours reportée dans le temps, pour une variété de facteurs qui se sont produits pendant des décennies.  J’ai saisi la fenêtre d’opportunité qui m’était offerte par les élections provinciales d’octobre 2022 et j’en ai personnellement informé les candidats concernés, avec qui je ferai un suivi attentif. Fait non négligeable, la mairesse a souvent soutenu, pendant son mandat au niveau provincial, qu’il était impératif que ce projet voit le jour.  Il est toujours impératif sinon plus qu’urgent que ce projet devienne enfin autre chose qu’un projet mais bien une réalité pour faciliter la vie de nos citoyens et des employés œuvrant dans les entreprises qui viennent s’implanter sur notre territoire.

Il s’agit là d’une des promesses électorales que j’ai faites au cours de la dernière campagne électorale. Je souhaite et j’aurai à exercer un leadership régional fort afin que les paliers de gouvernements supérieurs entendent et réalisent enfin ce projet criant pour la ville de Longueuil. Malheureusement, notre ville, avec les administrations précédentes, n’a pas exercé adéquatement ce rôle crucial de leadership fort. Ce manque de leadership a fait en sorte que nous n’avons pas reçu les investissements gouvernementaux qui tiennent pleinement compte de notre démographie, de nos immobilisations vieillissantes et de nos besoins en transport de personnes qui nous permettraient de nous développer comme il se doit. Voilà autant de facteurs qui nous permettraient de nous développer à la hauteur de la cinquième municipalité du Québec que nous sommes. Plus particulièrement dans ce cas-ci, il est impératif de régulariser une situation de congestion routière importante et seule l’arrivée de cet échangeur pourrait y parvenir.

L’offre de ce type d’installations sportives est nécessaire parce qu’à Laflèche mais aussi dans l’ensemble de Saint-Hubert, elle est insuffisante pour un territoire aussi vaste et une population en croissance.

Je tiens ici à mettre en lumière l’identité spécifique de nos quartiers par des quartiers qui se vivent et se marchent en 15 minutes et pour cela, nous avons identifié ce qui fait défaut à Laflèche et dans tout Saint-Hubert, et c’est, entre autres, un complexe multisports. Afin d’attirer et de retenir nos concitoyens, nous devons leur donner un environnement récréatif et sportif qui améliorera nos vies.  Là encore, j’ai exprimé mon souhait aux candidats de l’élection provinciale de 2022 afin de faire valoir ce projet et qui sait, de voir une première pelletée de terre dans un délai pas si lointain.

Plusieurs villes voisines ont choisi d’abolir complètement les sacs en plastique et les Publisacs, dont Mirabel, qui a été la première à le faire. Longueuil n’a pas encore pris de position officielle et n’a donc pas légiféré. Dans la direction d’un changement plus écologique, j’ai pris note d’un moratoire déposé par la CMM et j’attends avec impatience les développements à venir. Dans le cas où Longueuil ne statuerait pas dans le sens de ces abolitions, je ferai ce qui doit être fait pour que Longueuil se conforme aux souhaits de la CMM.          

Il incombe à tous d’agir de manière responsable dans le dossier des changements climatiques.   Ces deux actions collectives et individuelles sont assez simples et très peu coûteuses à mettre en place avec l’implication et la collaboration des citoyens.

Cette ambition vise à promouvoir des modes de déplacement alternatifs à un moment où nous devons trouver rapidement des solutions pour limiter l’utilisation de la voiture en solo. La trottinette électrique, par exemple, est dans les cartons du ministère des Transports du Québec et de la SAAQ mais le tout demeure un projet pilote et est donc à l’étude pour l’instant. Longueuil et le RTL seraient prêts à les recevoir mais pour ce faire, nous devons attendre les changements au Code de la sécurité routière pour que les villes puissent adapter leurs règlements en conséquence.  Encore une fois, j’ai profité de l’occasion que m’offraient les élections provinciales pour faire connaître mes impressions aux autorités compétentes.

Là encore, nous devons agir de manière responsable face aux changements climatiques. Oui, le développement du réseau cyclable est d’une grande aide mais il faut aussi accroître l’offre de vélos en libre-service mais aussi de la trottinette électrique et ce, un peu partout sur notre territoire.  Faisons preuve d’innovation dans la recherche de solutions simples pour lutter contre les changements climatiques